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  • chardonettelit
  • 23 févr. 2022
  • 1 min de lecture

Au mois de février je suis allée à l’école maternelle afin de raconter des histoires. Le thème retenu était autour de la taille, grand, petit, moyen...


Voici le déroulement de la séance :

Utilisation de la marionnette "les 5 corbeaux"

- Je suis grand maintenant ! De Lou Peacock

- Petit de Maria Jalibert

- ♫ Ils étaient 5 dans le nid

- « La souris géante » de Valérie Cros, Histoires pour les petits, n°181, janvier 2019

- On fait la taille de Émile Jadoul

- « Mon petit papa » De Sibylle Delacroix, Mes premières belles histoires, juin 2020

- ♫ J'ai 10 petits doigts





Quand j’ai vu cet ouvrage dans ma médiathèque numérique j’étais loin de m’imaginer les émotions que cette histoire allait me procurer.

Dès le prologue, on comprend que le récit va être fort, riche et bouleversant.


On alterne entre deux périodes, la seconde guerre mondiale et de nos jours.

Tout commence avec Alice, elle vit en Floride, elle est mariée et mère de deux enfants dont un qui souffre d’autisme. Edison Michaels est un petit être qui demande beaucoup d’énergie et cette femme a clairement mis sa vie entre parenthèses pour son petit garçon de sept ans.

Mais, lorsque sa grand-mère Hanna, âgée de quatre-vingt-quinze ans, va faire un AVC, elle ne va pas avoir le choix. Elle va devoir laisser sa famille afin de réaliser la dernière volonté de son aïeule qui est d’aller sur la terre de son enfance : la Pologne. Alice va se voir confier une mission bien particulière et elle est loin de s’imaginer ce que cela va engendrer pour sa famille.


Puis on découvre Alina, cette jeune femme insouciante qui ne pense qu’à vivre son idylle avec Tomasz. Cette histoire entre eux va être tellement puissante. Mais lorsque la Seconde Guerre mondiale éclate et plus particulièrement la période de l’occupation en Pologne, sa vie va être totalement chamboulée et son histoire d’amour va être compromise.


“La haine se répand et ne s'éteint pas avec le temps. Il faut que quelqu'un se lève pour la faire cesser.”

Ce texte était passionnant, il faut vraiment que je prenne le temps de lire plus de romans historiques sur la seconde guerre mondiale, car ce sont des lectures que j’apprécie énormément. Impossible de ne pas penser à “Elle s'appelait Sarah” de Tatiana de Rosnay ou “Si c’est un homme” de Primo Levi.


Difficile de refermer l’ouvrage sans verser une larme, quitter ces personnages a vraiment été difficile.


“La vie a le don de briser nos attentes mais, tant qu'il y a de l'amour, les vestiges de nos rêves brisés peuvent se recoller, même s'il en résulte une mosaïque.”

 
 
  • chardonettelit
  • 14 févr. 2022
  • 1 min de lecture

Ouvrir un roman de Karine Giebel s’est accepté de vivre un moment intense, bouleversant et chamboulant.

Chaque fois que je débute un roman de l’auteur, j’essaie de ne pas m’attacher aux personnages car on le sait, ils ne vont pas être épargnés. Mais c’est mission impossible, Karine Giebel décrit tellement bien les caractères, les émotions et les sentiments qu’à chaque fois je tombe dans le panneau.


Et pour Glen Affric ça n’a pas loupé.


Tout commence avec Léonard, jeune homme de seize ans qui se fait harceler par une bande d’abrutis, il est persuadé d’être un moins que rien. On suit également son grand frère, Jorge qui n’est pas avec lui, il est parti à Glen Affric enfin ce n’est pas si simple.

Et puis il y a Mona, la mère de Jorge et la mère adoptive de Léonard, il a eu une enfance terrible. Ce trio est juste incroyable et lorsque la vérité va exploser, tout va changer.


Et nous lecteurs on va plonger avec eux, jusqu’à la dernière ligne. Ce roman de 762 pages m’a absolument retourné. Les lieux, les personnages secondaires et les thèmes traités sont tellement puissants. Une fois fermée, l’histoire reste gravée pour très longtemps.


“C’est con la vie, hein John?”


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