top of page

La fille qu’on appelle de Tanguy Viel, Les Editions de Minuit, 2021

chardonettelit

C’est le second roman que je lis de l’auteur et j’aime vraiment cette plume qui nous embarque dès les premières lignes. C’est direct, fort et très cinématographique. J’avais adoré l’article 353 du code pénal, d’ailleurs je vous le conseille à nouveau.


Pour ce nouveau roman, l’auteur a choisi d’inscrire son histoire au cœur de l’actualité. On découvre Max Le Corre ancien champion de boxe qui trépigne d’impatience à l’idée d’un nouveau combat. Il est chauffeur du maire et il va demander à ce dernier s'il peut aider sa fille à trouver un appartement.


Il est loin de s’imaginer qu’il vient d’ouvrir la porte à engrenage terriblement toxique pour sa fille, Laura…Petit à petit on assiste à l’emprise de Quentin Le Bars vis-à-vis de Laura, c’est révoltant.


La fille qu’on appelle interpelle sur cette notion de pouvoir, de consentement, de politique, d’abus et de violences. C’est un roman impossible à lâcher.


2 vues0 commentaire

Comentários


Rejoindre mes abonnés

Merci pour votre envoi !

© 2020 par Chardonettelit. Créé avec Wix.com

  • Icône social Instagram
  • Pinterest
bottom of page